L'Année de la musique tchèque

Acte III. Mařenka (Natalya Romaniw) pense que son bien-aimé, Jeník, l'a trahie en ayant renoncé à l'épouser en échange d'une somme d'argent. Laissée seule pour étudier ses possibilités, elle se lamente sur la fin de son rêve d'une vie longue et heureuse aux côtés de Jeník. Dirigé par Jac van Steen et mis en scène par Paul Curran.

Acte II. Au bar du village, Jeník (Brenden Gunnell) et Kecal (Joshua Bloom) débattent joyeusement quant aux mérites respectifs de l'argent, de l'amour et de la bière. Dirigé par Jac van Steen et mis en scène par Paul Curran.

Acte III. Une troupe de cirque itinérante est arrivée en ville. Le maître de cirque (Jeffrey Lloyd-Roberts) présente la vedette du spectacle, Esmeralda (Lara Marie Müller), ainsi que les autres artistes (Daniel Edwards, Joshua Frazer, Ludo Helin, Malik Ibheis, Anesta Mathurin et Jennifer Robinson) tandis que l'orchestre joue une Skočná. Dirigé par Jac van Steen et mis en scène par Paul Curran.

Acte III. Libuše (Iveta Jiříková) a une série de visions: l’enlèvement de Jitka par Břetislav, la résistance de la Moravie à une invasion mongole, l’extension du royaume de Bohême et les terreurs des guerres hussites. Dans cette vision finale, la princesse prédit le grand et paisible règne de George de Poděbrady, mais la brume du temps dissimule alors l'avenir à ses yeux. Elle sait que de nombreuses horreurs les attendent mais elle fait confiance au peuple tchèque pour y résister.

Lors d’un rassemblement d’anciens, Chrudoš (František Zahradníček) et Šťáhlav (Jaroslav Březina) s’accusent de s'être mutuellement revendiqués leur héritage. Lutobor (Jiří Sulženko) - l’oncle des frères - et Lutobor (Jiří Sulženko) expriment leur opinion selon laquelle de tels désaccords ne peuvent être réglés que si la nation est co-dirigée par un homme. 

Le chœur des enfants Brno Children's Choir chante « Tak ještě jednou serenádu » (Recommençons la sérénade) de l'opéra Le Jacobin de Dvořák au National Theatre Brno.

La soprano Lucie Kaňková (Terinka) et le ténor Aleš Briscein (Jiří) interprètent le duo d'amour « On odešel » de l'opéra Le Jacobin de Dvořák au National Theatre Brno.

La basse David Szendiuch interprète l'aria du comte « Ten úsměv děcka » de l'opéra Le Jacobin de Dvořák au National Theatre Brno.

Coincée entre deux mondes, ni sirène, ni humaine, Rusalka (Julie Adams) ne peut ni vivre ni mourir. Elle se lamente sur son sort et veut mourir.

Acte I. Rusalka (Pumeza Matshikiza) est tombée amoureuse d'un prince. Elle demande à la lune de dire à son bien-aimé qu'elle pense à lui. Dirigé par Giedrė Šlekytė et mis en scène par Alan Lucien Øyen.

Dutch National Opera présente Rusalka, sous la direction de Joana Mallwitz et dans une mise en scène de Philipp Stölzl et Philipp M. Krenn. Le Prince (Pavel Černoch) rencontre Rusalka, un être venu d'un autre monde, métamorphosée par le sortilège de la sorcière Ježibaba. Épris d'un amour superficiel, le prince chante à l'amour : « Vision divine, es-tu réellement femme ou créature de conte de fées ? »

Un puissant prélude introduit l'opéra de Janáček De la maison des morts. Un autre jour se lève, davantage de souffrance... une punition pour ceux qui sont coupables et ceux qui sont innocents mais qui ont atterri ici.

Acte I. On entend les recrues s'approcher en chantant cette chanson de conscription. À leur tête se trouve Steva, le propriétaire du moulin, qui entraîne Jenůfa dans une autre danse. Dirigé par Marko Ivanović et mis en scène par Martin Glaser.

Acte III. Des filles du village chantent et dansent une chanson de mariage en l'honneur de Jenůfa (Pavla Vykopalová). Celle-ci, ainsi que le maire (Ladislav Mlejnek) les remercient, et Luca (Jaroslav Březina) demande à la grand-mère de Jenůfa (Jitka Zerhauová) de bénir leur union. Alors que la belle-mère de Jenůfa (Szilvia Rálik) est également sur le point de les bénir, Jana (Martina Mádlov) survient avec une terrible nouvelle : un enfant a été trouvé sous la glace. Karolka (Tereza Kyzlinková) explique à Števa (Tomáš Juhás) que le mariage a probablement été gâché. Jenůfa reconnaît le bonnet de son petit garçon et les soupçons de meurtre commencent à peser sur elle. Les villageois appellent à sa lapidation mais Luca jure de tuer quiconque s'approche d'elle. Dirigé par Marko Ivanović et mis en scène par Martin Glaser.

Acte II. Jenůfa (Pavla Vykopalová) se réveille dans une maison vide, son bébé et sa belle-mère ayant disparu. Ne les retrouvant pas, elle s'inquiète pour la sécurité de son bébé et prie la Vierge Marie de veiller sur lui. Dirigé par Marko Ivanović et mis en scène par Martin Glaser.

Tout rappelle au forestier (Svatopluk Sem) le jour où il a trouvé la renarde. Et puis il la voit, le portrait craché de sa mère ! Il essaie de l'attraper, mais il est déjoué par une petite grenouille verte (Petr Hrůša), la petite-fille de celle qui était au début de l'opéra. C'est comme si la vie s'arrêtait une seconde et qu'une seconde durait toute une vie. Tel est le cercle éternel de la vie.

C'est le coup de foudre pour Fine-Oreille la Renarde (Jana Šrejma Kačirková) et Dos-doré le Renard (Václava Krejči Housková). Ayant timidement fait connaissance, Fine-Oreille est encore timide, peu convaincue qu'un garçon aussi beau ait pu tomber amoureux d'elle. Mais avec un peu de charme, le cadeau d'un lapin et une déclaration d'amour apparemment sincère, Dos-doré la séduit.

Sternenhoch (Sergey Kostov) rend visite à Kuhmist (Tereza Marečková), une sorcière, qui dépouille le prince à moitié fou et le fait entrer dans un profond délire. Dirigé par Petr Kofroň et mis en scène par Michal Dočekal.

Le prince Sternenhoch dort, la tête reposant sur une table. Dans ses rêves, il entend le fantôme de Helga lui adresser un chant. Dirigé par Petr Kofroň et mis en scène par Michal Dočekal.